• Un numéro court à 4 chiffres, facile à retenir, pour signaler sans perdre de temps une maltraitance faite à un animal.
• Un numéro d’écoute, de régulation et d’orientation.
• Un numéro qui va éviter les pertes de signalement des témoins ne trouvant pas l’interlocuteur adéquat, en limitant l’envoi du même signalement simultanément à plusieurs interlocuteurs, ce qui complique la prise en charge.
• Un numéro qui va faire gagner du temps aux organisations compétentes (policiers et gendarmes, DDPP, pompiers, mairies, associations, etc.) qui auront ainsi moins de signalements abusifs à traiter : la ligne allège et simplifie le travail des services de l’État et des associations.

Remarque : Ce numéro n’empêche en rien celles et ceux qui sont familiers des signalements de maltraitance et des procédures, de contacter directement les associations, les DDPP ou les forces de l’ordre.

• Parce qu’une ligne téléphonique avec un contact humain direct est la meilleure solution pour signaler une maltraitance.
• Parce que 236 000 citoyens français ont signé une pétition demandant la création d’un numéro d’urgence unique en France contre la maltraitance animale.
• Parce qu’une étude effectuée par Woopets auprès de 3000 personnes a révélé que :
  • seulement 27% des personnes ayant déjà signalé une maltraitance ont eu accès facilement à une ou plusieurs solutions de signalement.
  • 31% ont eu des difficultés
  • 42% ont trouvé les démarches de signalement très fastidieuses.
  • 89% des répondants à cette étude “seraient plus enclins à signaler un cas de maltraitance si un numéro de téléphone national unique était disponible”.
  • 95% des répondants à cette étude sont favorables à la création d’une ligne téléphonique nationale de signalement des maltraitances animales.
• Selon le Baromètre du numérique 2022, 48 % des Français rencontrent au moins une forme de difficulté qui les empêche d’utiliser pleinement les outils numériques et internet, soit une hausse de 13 points par rapport à l’année 2020. Publié en janvier 2023 par francenum.gouv.fr.

• Pour orienter le plus rapidement possible les appelants vers le bon interlocuteur
• Pour soulager le travail des services de l’État en filtrant les signalements sans preuves et les signalements malveillants. Les organisations compétentes (FSI, DDPP, APA, pompiers, mairies, …) auront moins d’appels inopportuns à traiter (environ 60% selon nos sources),
• Pour permettre aux APA et aux forces de l’ordre de s’adonner pleinement à leurs activités à forte valeur ajoutée de prise en charge et de suivi, en limitant les pertes de temps liées au filtrage (et le découragement qui en découle parfois)
• Pour obtenir des statistiques fiables sur la maltraitance animale qui remonteront au niveau de l’État ce qui permettra d’accompagner les évolutions des politiques publiques en faveur du bien-être animal.
• Pour détecter précocement des individus violents qui pourraient également maltraiter femmes ou enfants.

• SOS Maltraitance Animale est ouvert 7 jours sur 7, 365 jours par an.
• Chaque motif de signalement possible a donné lieu à une fiche de procédure de réponse, validée par des professionnels des forces de l’ordre, des APA partenaires et un avocat spécialisé.
• Les répondants interrogent les signalants selon la procédure définie puis orientent les signalants vers le bon interlocuteur (police, gendarmerie, DDPP, APA, pompiers, mairies, vétérinaires,…)

• 7 télé-opérateurs basés à Paris ont été sélectionnés, formés et sont suivis.
• Des APA, des vétérinaires, des avocats, des policiers nous accompagnent et nous soutiennent.
• Des partenaires financiers privés, très impliqués par la question de la protection animale, engagés et fiables.

Venir en aide aux personnes souhaitant signaler un cas de maltraitance animale mais ne sachant pas comment s’y prendre, en les orientant rapidement vers le bon interlocuteur.

• Une solution magique qui va régler tous les problèmes de maltraitance animale en France et sauver tous les animaux malheureux. Si un tel dispositif existait, il serait déjà en fonction.
• Une association de terrain qui se déplace pour enquêter, soustraire un animal ou le placer en refuge ou famille d’accueil. Les associations de protection animale de terrain font ce travail remarquablement. Sans elles, le 3677 n’existerait pas ou n’aurait pas d’utilité.